Fév 18
Dimanche 18 février – Appel Décisif des Catéchumènes à Bordeaux
Fév 18
Plus de peur que de mal à l’abbatiale de Blasimon.
Dans la nuit de mardi au mercredi des Cendres, des malfaiteurs ont fracassé la porte médiévale de l’abbatiale.
Ils ont visité le tronc des offrandes, trouvé que de l’eau bénite dans le baptistère, et détérioré et ouvert la porte du tabernacle.
Absent sur les lieux au moment de la découverte de l’effraction, j’ai pensé tout d’abord que des satanistes avaient volé Notre Seigneur Jésus Christ dans la Sainte Eucharistie.
Heureusement le ciboire qui contenait le Bon Dieu est resté sur l’autel.
Donc, il s’agit de voleurs qui cherchaient de l’argent ou des objets de valeur à revendre.
Deo Gratias ! Ils sont repartis bredouilles.
Père Christophe
Fév 17
Avis d’obsèques de M. Jean-Bernard TEILLET à Castelviel
Les obsèques de M. Jean-Bernard TEILLET auront lieu mercredi 21 février 2024 à 15h00 en l’église de Castelviel, suivies de l’inhumation au cimetière de Castelviel.
Fév 10
Avis d’obsèques de M. Jean-Marc VITRAT à Sauveterre de Guyenne
Les obsèques religieuses de M. Jean-Marc VITRAT auront lieu mercredi 14 février 2024 à 11h00 en l’église Notre-Dame à Sauveterre de Guyenne, suivies de la crémation à Montussan.
Fév 10
MESSAGE DU PAPE FRANÇOIS POUR LA XXXIIème JOURNÉE MONDIALE DU MALADE – 11 février 2024
Soigner le malade en soignant les relations
« Il n’est pas bon que l’homme soit seul » (Gn 2, 18). Dès le début, Dieu, qui est amour, a créé l’être humain pour la communion, en inscrivant dans son être la dimension des relations. Ainsi, notre vie, modelée à l’image de la Trinité, est appelée à se réaliser pleinement dans le dynamisme des relations, de l’amitié et de l’amour réciproque. Nous sommes créés pour être ensemble, et non pour être seuls. Et c’est justement parce que ce projet de communion est inscrit si profondément dans le cœur de l’homme que l’expérience de l’abandon et de la solitude nous effraie et est douloureuse, voire inhumaine. Elle l’est encore plus dans les moments de fragilité, d’incertitude et d’insécurité, souvent provoqués par l’apparition d’une maladie grave.
Je pense, par exemple, à ceux qui se sont retrouvés terriblement seuls durant la pandémie de Covid-19 : les patients qui ne pouvaient pas recevoir de visites, mais aussi les infirmiers, les médecins et le personnel de soutien, tous débordés et enfermés dans des salles d’isolement. Et bien sûr, n’oublions pas ceux qui ont dû affronter l’heure de la mort tout seuls, soignés par le personnel de santé mais loin de leurs familles.
En même temps, je partage avec douleur la détresse et la solitude de ceux qui, à cause de la guerre et de ses conséquences tragiques, se retrouvent sans soutien ni assistance : la guerre est la plus terrible des maladies sociales et les personnes les plus fragiles en paient le prix le plus élevé.